Les médecins sont des ânes, Molière l’avait bien dit, et Montaigne avant lui dénonçait déjà vigoureusement les démarches fâcheuses de bricoleurs irréfléchis.
Dieu soit loué, l’admirable Trump a eu le courage de dénoncer publiquement les atermoiements coupables de la communauté scientifique qui ne cesse de nous égarer dans d’inutiles acrobaties bureaucratiques illustrant évidemment son ignorance crasse.
Toujours prompt à dénoncer l’injustice et les méfaits de la mondialisation rampante, il avait justement fustigé l’OMS pour sa nuisible attitude et cessé de gaspiller l’argent en funestes chinoiseries masquées en ayant ainsi la sagesse de priver cette misérable organisation du trop généreux financement étasunien.
Pourquoi perdre son temps en recherche alambiquée d’un hypothétique remède alors que la solution immédiate est à portée de seringue avec les produits désinfectants qu’on trouve en abondance à proximité et à bon marché ?
Dommage que le regretté Josef Mengele ne soit plus là pour épauler notre charismatique gourou, ce bon docteur qui avait eu la géniale intuition, s’affranchissant du serment d’Hippocrate et autres entraves imbéciles, d’expérimenter d’audacieuses injections sur toutes sortes de patients dévoués et qui avait été ignominieusement empêché de poursuivre des recherches fondamentales au prétexte calomnieux de protocoles hasardeux.
Résumons-nous : le fléau de la pandémie sera définitivement éradiqué lorsque chaque citoyen libéré les armes à la main de l’injuste confinement oppressant, pourra user sans contrainte de l’élixir salvateur du seul vrai héros, le génial Donald.
Health first !